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Une femme de 35 ans perd ses jambons à cause d’un tampon !

Aux USA, une jeune femme de 35 ans est revenue sur cette histoire incroyable qui l’a vu perdre ses jambes à cause d’un choc toxique lié à ses tampons.

Le syndrome du choc toxique (SCT) peut faire peur à pas mal de monde, notamment les femmes, qui sont les premières concernées. Récemment, une jeune femme de 35 ans, un top model californien répondant au nom de Lauren Wasser, a accepté de revenir sur le sujet. Celle-ci a souffert de ce terrible choc, au point même qu’elle ait failli en mourir. Au début pourtant, elle n’a ressenti que des symptômes qui similaire à la grippe. Mais sa mère, inquiète et sans nouvelles a alors décidé d’appeler les forces de l’ordre. Celles-ci se sont rendues directement sur place et ont découvert la jeune femme, inconsciente, couverte de vomi et d’excréments, sur le sol de sa chambre.

Les secours sont vite intervenus et Lauren a été transportée à l’hôpital. Sa température a atteint 41,6 °C. Elle a ensuite subi une crise cardiaque avant d’être plongée dans un coma artificiel. Un médecin spécialiste des maladies infectieuses a demandé au personnel médical de vérifier si elle avait un tampon et, après un test, un diagnostic de SCT a été posé. Soignée, prise en charge, Lauren se réveille et découvre que les médecins ont été forcés de l’amputer des deux jambes.

« Mes pieds étaient en feu, c’était comme si quelqu’un mettait le feu à mon pied, la sensation de brûlure était insensée », a-t-elle déclaré à Bartlett dans le podcast. « Ma jambe droite était pire que la gauche, mes orteils à gauche devenaient violets, mais du côté droit, il y avait beaucoup plus de dégâts, cela se voyait. C’est alors que l’on s’est rendu compte qu’il fallait amputer ma jambe droite pour me sauver la vie ou que j’allais mourir ». Le plus dur dans tout ça ? Pendant 24h, elle n’a pas pu prendre de médicaments contre la douleur.

Aujourd’hui, Lauren consacre son existence à la sensibilisation au SCT. « Les tampons sont fabriqués avec de l’eau de Javel, de la dioxine et des fibres synthétiques, ce qui crée une tempête parfaite dans notre corps », explique-t-elle. Elle collabore avec Madeline Mosby, une maman qui a perdu sa fille à l’age de 18 ans, à cause de ce même problème. Son ambition ? Que les choses évoluent et que des décisions soient prises, au niveau politique notamment, pour faire avancer les choses.

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