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Variole du singe : ce qu’il faut savoir !

La variole du singe, après le covid-19 ? Avant de céder à la panique, étudions tout ce que nous savons sur le sujet !

Après le covid, la variole du singe ? Depuis quelques jours, de plus en plus de médias semblent craindre une nouvelle épidémie alors que des cas ont été recensés un peu partout dans le monde. Récemment, le Dr Susan Hopkins, conseillère médicale en chef de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), a d’ailleurs prévenu que de nouveaux cas de variole du singe seront détectés d’ici les prochains jours, que ce soit au Royaume-Uni, en France et dans le reste de l’Union européenne. Mais qui sont ciblées par cette maladie ? Concrètement, tout le monde peut l’attraper. Pour autant, il semble qu’à ce stade, celle-ci soit surtout communautaire. En effet, la grande majorité des patients positifs sont des personnes qui s’identifient comme gays et bisexuels.

À la télévision, le Dr Hopkins a déclaré : « Nous détectons de plus en plus de cas chaque jour et je tiens à remercier toutes les personnes qui se présentent pour le dépistage.. Nous trouvons des cas qui n’ont pas de contact identifié avec un individu d’Afrique de l’Ouest, ce que nous avons vu précédemment dans ce pays. La transmission communautaire est largement centrée sur les zones urbaines et nous l’observons principalement chez des individus qui s’identifient comme gays ou bisexuels, ou d’autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes. » En outre, celle-ci a invité n’importe qui ayant plusieurs partenaires sexuels à se rendre dans l’hôpital le plus proche en cas d’éruption cutanée.

Il n’existe pas vraiment de traitement contre la variole du singe. Pour autant, certains médecins préconisent et utilisent un vaccin antivariolique de troisième génération sur les personnes qui ont été en contact avec des personnes infectées. Quid de l’avenir ? Pour le moment, nul besoin de s’inquiéter. En effet, la variole du singe a une capacité relativement faible à se propager d’une personne à l’autre. Il y aurait environ 10 % de risque de propagation à grande échelle, soit un risque relativement faible (mais existant). Attention donc et n’oubliez pas de vous protéger vous-même et les autres.

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