LCI : moment lunaire entre Praud et Finkielkraut

Les téléspectateurs ont pu témoigner d’un moment de télévision tout simplement surréaliste entre Pascal Praud et Alain Finkielkfraut sur le plateau de l’Heure des pros !

Une scène exquise, qui nous aura bien fait rire en ces temps compliqués. En effet, invité sur le plateau de l’heure des pros, sur Cnews, Alain Finkielkraut est apparu lunaire, se croyant hors antenne. Pour autant, tout laissait entendre que l’émission était bel et bien lancée ! En plateau, Pascal Praud commence, affirmant qu’il était heureux de recevoir l’académicien, pour la simple et bonne raison qu’il l’apprécie grandement même s’il reconnaît à demi-mot, ne pas toujours réussir à le suivre. Finkielkraut rétorque alors que c’est parce que sa pensée vole haut. Praud lui lance alors qu’au contraire, cela volait parfois très bas. 

S’ensuit une courte discussion sur laquelle le philosophe termine en expliquant qu’il ne souhaitait pas parler de l’affaire Duhamel même s’il pouvait évoquer le sujet une petite seconde. « Je me suis dit : « Pourquoi il dit ça ? ». Dans cette affaire, il n’y a pas de place pour la nuance ! Olivier Duhamel a une relation avec son beau-fils qui est un jeune adolescent. C’est criminel ! C’est horrible », lance Pascal Praud en référence à la sortie de l’académicien sur le plateau de la chaîne TF1. Il lui demande alors de lui expliquer pourquoi il cherchait à « nuancer » ses propos. 

« Vous allez voir », répond Alain Finkielkraut baissant la tête avant de… Se taire de longues secondes. Face à la gêne palpable, Praud relance une première fois, sans réponse. Il relance une seconde fois, « Monsieur Finkielkraut ? » qui fera mouche cette fois-ci. Le principal concerné affirme qu’il répondra alors au cours de l’émission avant de comprendre qu’il devait le faire de suite. « Tout de suite, là ? Ça a commencé ? L’émission a commencé ? » questionne le philosophe, avant que le présentateur lui confirme que tout avait bien débuté depuis 5 bonnes minutes. Une situation absolument improbable.