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Romain Grosjean : il donne enfin de ses nouvelles !

L’image du weekend, sans aucun doute. L’accident de Romain Grosjean, à Bahreïn, restera comme étant l’un des pires de l’histoire de la Formule 1.

C’est l’image du weekend. En effet, il y a quelques heures, Romain Grosjean, pilote français de l’écurie Haas a eu un terrible accident au cours du Grand Prix de Bahreïn. Pour l’occasion, ce dernier a tenté d’éviter son coéquipier et est malheureusement entré dans une voiture concurrente avant de dévier. Sa voiture est alors venue s’encastrer dans les barrières de protection entourant la piste. Sa Formule 1 s’est alors coupée en deux avant d’exploser, le carburant s’étant enflammé. Mais le pilote, lui, était toujours à l’intérieur et l’incendie faisait rage. 28 secondes durant, Romain Grosjean reste alors dans les flammes avant de s’extirper, on ne sait pas trop encore comment.

Un pompier était sur le côté, en train d’éteindre les flammes (ou du moins, en train d’essayer) alors que deux commissaires eux, se trouvaient également de l’autre côté, en train d’aider le pilote français à se sauver des flammes. Les images ont fait le tour du monde. Mais le plus dingue dans cette histoire, c’est que le choc, estimé à 53G, n’a eu aucun impact sur Grosjean, qui s’en est sorti qu’avec des blessures mineures. Pris en charge par les autorités sanitaires, comme le souhaite le protocole, ce dernier a réagi sur les réseaux sociaux, affirmant, « Salut à tous, c’est juste pour vous dire à tous que je vais bien… Enfin à peu près. Merci pour vos messages, je n’étais pas pour le halo il y a quelques années, mais je pense maintenant que c’est le truc le plus génial en F1, car sans ça, je ne serais pas aujourd’hui là pour vous parler. Merci au staff médical. J’espère vous écrire des messages pour vous donner bientôt de mes nouvelles ».

Le halo est cette petite barre de protection qui se trouve à l’avant des F1. Celle-ci a résisté à l’impact, permettant à Romain Grosjean de ne pas s’écraser contre la barrière de protection, puisque c’est elle qui a absorbé l’impact. Cette protection supplémentaire a été imposée par Jean Todt, patron de la fédération internationale, suite au décès de Jules Bianchi, en 2015. À l’époque, le jeune pilote français a eu un terrible accident, allant s’encastrer dans une grue située à proximité de la piste.

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