La guerre Hanouna/Barthès relancée par cette nouvelle rentrée ?

Depuis près de deux ans maintenant, Cyril Hanouna et Yann Barthès semblent se livrer à une véritable guerre médiatique afin de savoir qui sera le premier talk-show de France. Une guéguèrre qui devrait repartir de plus belle avec cette nouvelle rentrée.

Ce n’est un secret pour personne, Cyril Hanouna et Yann Barthès ne sont pas les meilleurs amis au monde. En effet, depuis plusieurs années maintenant, les deux hommes se tirent dessus, n’hésitant pas à s’envoyer des piques et autres insultes, parfois même en plein direct. L’été aidant, la pression serait tout de même redescendue d’un cran. Oui, mais voilà. La rentrée c’est aujourd’hui et il est tout à fait légitime de se demander si la guerre des talk-show va de nouveau avoir lieu.

Pour Barthès, de guerre il n’y aura pas !

Interrogé à ce sujet, Barthès lui, estime qu’il n’en sera rien : « C’est une guerre à sens unique. Il est beaucoup plus obsédé par moi que moi je ne le suis par lui. Si vous vous souvenez bien, je n’ai rien dit sur lui l’année dernière. Tout ce que j’espère, c’est que nos émissions ne soient pas résumées en guerre Barthès-Hanouna, parce qu’il n’y a pas de guerre Barthès-Hanouna. Point final. » Une mise au point précise que ne devrait certainement pas partagé Hanouna, connu pour son drôle de caractère.

Cependant, il ne faudra pas compter sur Barthès pour entrer dans un combat sans fin : « Il n’y a pas de réconciliation à avoir, puisque je ne l’ai jamais vu de ma vie ! Je ne sais même pas s’il est grand ou s’il est petit. C’est comme si vous me disiez : « Pourquoi tu ne vas pas boire un coup avec Guy Lagache ? » Ma vie ce n’est pas la télé. » continue-t-il ainsi, assurant au passage qu’il ne vivait pas pour rester dans le monde du petit écran, bien au contraire. Ouvert et ne souhaitant pas non plus « s’enfermer » dans le carcan télévisuel, ce dernier aime prendre du recul… Au point même de préféré être le numéro deux de l’access prime-time !

 « Au fond, je me fous de savoir si ça a marché. Je me moque totalement d’être numéro 1 ou d’être numéro 2. C’est très bien d’être challenger, parce que quand vous êtes premier, vous en prenez plein la figure, donc il vaut mieux être deuxième ». Comme quoi, certains ne vivent pas pour la confrontation et les chiffres !