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Hidilyn Diaz reçoit d’incroyables cadeaux après sa médaille d’or

Une athlète originaire des Philippines a remporté la première médaille d’or de l’histoire de son pays. La récompense sera à la hauteur.

Une médaille pour l’histoire. En effet, Hidilyn Diaz est entrée dans l’histoire des Jeux Olympiques et de son pays, les Philippines, après avoir remporté la toute première médaille d’or de l’histoire de son pays. Il semblerait, à ce titre, qu’elle soit bientôt récompensée à juste titre pour son exploit. En effet, son gouvernement semble être prêt à mettre les petits plats dans les grands afin de célébrer celle qui jouit désormais d’un statut à part. Ainsi l’haltérophile recevra un prix de près de 500.000 euros pour marquer son triomphe sensationnel, ainsi que… Deux maisons. Il faut dire que le travail réalisé a été phénoménal. Elle ne fait que 55 kilos, mais Diaz a battu le record olympique à l’occasion des JO de Tokyo le 26 juillet dernier, en soulevant 127kg.

Selon Bloomberg, la médaillée d’or recevra son prix en cash, directement de la part du gouvernement philippin et de la part de plusieurs hommes d’affaires locaux visiblement très heureux. Il a été rapporté que ce prix en argent liquide est à disposition de tous les philippins qui gagnent l’or mais ce sera donc la toute première fois que ce fond sera débloqué. En plus de cela, elle recevra une maison à Tagaytay, directement fournie par le président olympique philippin Abraham Tolentino. Comme cela ne suffisait visiblement pas, une seconde maison lui a été offerte par le milliardaire sino-philippin, Andrew Lim Tan. Il s’agit d’un condo de luxe de 280 000 $ à Eastwood City.

« C’est incroyable, c’est un rêve devenu réalité. Je veux dire à la jeune génération aux Philippines : vous pouvez aussi avoir ce rêve d’or. C’est comme ça que j’ai commencé et finalement j’ai pu le faire. » À son exploit, s’ajoutent les sept mois passés en Malaisie, loin de chez elle, à cause du covid-19 ainsi que les restrictions imposées au Japon. Cela a suscité quelques galères d’entrainement mais Diaz a construit sa propre salle, via des objets du quotidien, comme deux énormes bouteilles d’eau suspendues à un bâton en bambou. « Ne pas pouvoir m’entraîner et rester en quarantaine à domicile a été très difficile pour moi. Mais je dois rester proactive et trouver des moyens de me maintenir en mouvement. »

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