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Jessica Thivenin : hospitalisée, les galères liées à sa grossesse continuent

La grossesse de Jessica Thivenin ne se passe pas forcément comme prévu. Heureusement, celle-ci dispose de plein de ressources et garde la tête haute.

Il y a quelques jours, nous vous annoncions en effet que Jessica Thivenin vivait quelques moments douloureux à cause de sa grossesse. En effet, celle-ci a reçu l’ordre de rester allonger et de ne pas faire d’effort superflu, au risque d’avoir de graves problèmes. Vous l’aurez compris, si le bébé va bien, ce n’est pas franchement son cas. Une situation qui, en tout, va durer pas moins de quatre mois et deux semaines. D’ailleurs, très vite, Jessica s’est mise à écouter le corps médical. Cependant, malgré le respect des consignes imposées, Jessica Thivenin a dû se rendre une nouvelle fois à l’hôpital…

La jeune femme souffre effectivement de graves contractions, espacées de 10 minutes, puis 5 puis 1. Face à cette nouvelle situation, la belle a décidé de se rendre aux urgences afin de s’y faire observer. « Je suis à l’hôpital tout simplement parce que j’ai des contractions tous les jours. Depuis longtemps, mais elles sont très espacées donc c’est de temps en temps. Ce qu’il se passe c’est qu’aujourd’hui depuis 15h j’ai beaucoup de contractions. Toutes les 10 minutes, puis toutes les 5 minutes, toutes les minutes carrément ». Après examen, il s’avère que le bébé est très en forme ! Toutefois afin de s’assurer que tout se passera bien dans les jours à venir, les médecins continuent de lui faire quelques tests.

Une situation un peu compliquée à vivre pour la petite famille qui ne s’attendait pas à de telles péripéties. Heureusement, Jessica Thivenin peu compter sur son mari, Thibault Kuro, mais aussi et surtout, sur sa force de caractère. « On attaque bien la semaine 23. Le beb’s me fait des petites feintes. Il en avait marre d’être dans le lit au milieu du salon. Il voulait changer d’environnement. Ce qui est bien avec l’hôpital, c’est qu’ils te disent quand tu rentres mais jamais quand tu sors. (…) Bon c’est la vie. Il faut relativiser et se dire qu’il y a toujours pire. Des fois, ce n’est pas évident. J’ai lâché quand même des petites larmes parce que j’étais très stressée et angoissée d’un coup. Là ça va, ils m’ont un petit peu rassuré et ça va aller ».

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