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Russie : les concours de gifles, cette nouvelle lubie d’internet

Cela fait maintenant plusieurs jours que le monde ne parle que de ça, le fameux concours de gifles à la russe. On vous explique le phénomène.

Depuis quelques semaines, sur les réseaux sociaux, on ne parle que de ça : le concours de gifles. Tout a en fait débuté sur YouTube ou des vidéos ont créé le buzz, et pour cause. Ces quelques images mettaient en scène plusieurs hommes qui, à tour de rôle, se mettaient des paires de claques. L’objectif ? Remporter le match. Pour se faire, l’adversaire doit tomber KO ou abandonner le combat en cour de route – les juges peuvent également décider d’interrompre le match.

Inconnu, ce « sport » a ensuite passionné des centaines de Russes qui se sont tous donnés rendez-vous à certaines exhibitions afin d’y apercevoir les concurrents. Depuis ? Sur YouTube, certaines vidéos sont vues des millions de fois. Récemment Vassily Kamotski, champion incontesté de la discipline a par exemple mis KO Kirill Tereshin, un bodybuildr accroc au synthol qu’il s’injecte dans les bras afin de faire gonfler ses biceps.

Les femmes ont aussi leur concours

Et les femmes dans tout ça ? Ces mesdames ne sont pas en reste. Ainsi, si aucune n’a participé – du moins, pour le moment – à un tournoi de gifles, certaines influenceuses ont eu la drôle d’idée de créer le tournoi de fessées. Ainsi, au lieu de se mettre des claques au visages, celles-ci visent le postérieur de leur concurrente. Le principe lui, reste le même et chaque participante doit pousser l’autre à arrêter en frappant le plus fort possible.

Le jury axe toutefois sa décision sur d’autres points comme la précision, la force et l’entrain. Sur YouTube, le succès a une fois de plus été au rendez-vous avec plus de 2 millions de vues pour la première vidéo du genre ! De quoi gagner encore plus en influence pour ces jeunes femmes qui auront réussi à concurrencer les gros bras, directement sur leur terrain.

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