Pour sensibiliser à la traite d’êtres humains toujours existante en 2013, l’association World Vision Canada lance la campagne « No child for sale » dans laquelle l’enfant est présenté comme un objet dans une émission de télé shopping.
L’esclavage des enfants n’est pas le seul problème. Malheureusement, de nos jours, trop d’enfants sont encore victimes de violences et n’osent pas en parler. L’association espagnole ANAR qui vient en aide aux enfants maltraités avait lancé une campagne hors du commun pour prévenir ce genre de situation. Grâce à un effet d’optique, l’affiche publicitaire envoie des messages différents en fonction de la taille de la personne. Ainsi, si les parents pouvaient lire « Parfois la maltraitance n’est visible que par les enfants qui en sont victimes », les enfants avaient accès à un message spécifique: « Si quelqu’un te fait du mal, téléphone-nous et nous t’aiderons ». Une campagne intelligente qui avait pour but d’inciter les enfants à demander de l’aide sans avoir peur de son agresseur.
Si les témoins de maltraitance viennent parfois en aide aux victimes, ils attendent souvent trop longtemps pour faire quelque chose. En 2012, la NSPCC (National Society for the Prevention of Cruelty to Children) réalisait une vidéo de prévention mettant en scène des témoignages d’enfants troublants de réalité pour la campagne « Don’t wait Until you’re Certain » (n’attendez pas d’être certain). Cette campagne avait été relayée sur les réseaux sociaux grâce aux partisans de l’association qui avaient fait don de leur statut pour l’occasion.
Récemment, la fondation pour l’enfance a créé « La Gifle », une vidéo qui montre qu’il n’y a pas de petite claque pour les enfants.