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Nos amis belges, seraient-ils de mauvais perdants ?

Après leur défaite face à l’équipe de France de football, les Belges se sont montrés sous un drôle de visage à savoir celui du mauvais perdant. Pas très sportif tout ça…

Mais dis-donc, nos amis belges, ne seraient-ils pas de mauvais perdants ? La question peut effectivement se poser à la suite de la demi-finale perdu contre l’équipe de France puisque, une véritable vague de mauvaise foi s’est abattue sur l’hexagone. Une vague venue tout droit de Belgique et de Russie. 

Ainsi, après leur triste défaite face aux Bleus, les joueurs Belges se sont montrés très critiques, assurant avoir perdu contre une équipe qui leur était inférieure et qui aurait, selon eux, fait honte au football ! Interrogé par la RTBF, le portier belge Thibaut Courtois n’y est pas allé par le dos de la cuillère : « C’était un match frustrant, la France a joué à rien, a joué à défendre avec onze joueurs à 40 mètres de leur but, à joué en contre-attaque avec Mbappé qui est très rapide. C’est leur droit, ils savent que quand [l’adversaire] joue très bas, c’est là qu’on a eu des problèmes. […] La frustration est là car on perd contre une équipe qui n’est pas meilleure que nous, on a perdu contre une équipe qui joue à rien, qui défend. Contre l’Uruguay, ils ont mis un but sur coup franc et un autre sur une erreur du gardien. Aujourd’hui, un corner. C’est le foot, chacun joue avec ses qualités. Mais c’est dommage pour le foot qu’aujourd’hui la Belgique n’ait pas gagné. ».

De son côté, Vincent Kompany, le défenseur, a assuré que peu importe le vainqueur de cette Coupe du Monde, il serait forcément moins fort que son équipe. Il faut dire que quelques minutes après une défaite en demi, il est parfois compliqué d’avoir les idées à l’endroit. Nous lui passerons donc le petit tacle, mais nous ne résistons pas, bien évidemment, à lui rappeler que la France par exemple, a dominé les débats en terme de statistiques et que la seconde mi-temps de son équipe face au Brésil, consistait à plier les genoux et à prier. 

Après tout qu’importe, nous, nous sommes en finale. Rendez-vous dimanche prochain, à 17 heures !

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