Une agression sexuelle reportée a obligé la production à mettre fin au tournage de la prochaine saison de Koh Lanta.
Vous n’êtes pas sans savoir que la prochaine édition de Koh-Lanta va donc être annulée. En effet, selon de nombreuses sources, une affaire sexuelle serait à l’origine d’un scandale sans précédent. Dans les faits, une jeune femme se serait fait agresser par un homme quelques jours seulement après l’arrivée de tous les candidats au Fidji. Résultat, après avoir appelé à l’aide, la production a séparé les candidats et avant de renvoyer tout le monde à Paris. Dans un communiqué de presse, TF1 a confirmé cette nouvelle, ajoutant qu’il était impossible de continuer le tournage : « La production a considéré qu’il était impossible de poursuivre cette nouvelle édition dans des conditions suffisamment sereines.« Même son de cloche chez nos confrères d’Europe 1 qui ajoutent toutefois quelques petites précisions : « Cet événement est déconnecté du programme et de ses épreuves. Ni la production, ni le diffuseur n’ont à rendre cet événement public ni à le commenter. Il appartient aux deux participants de décider s’ils souhaitent communiquer et sous quelle forme ».
Un incident pas vraiment isolé.
Quelques jours après que ce scandale ait été révélé au grand jour, nous en savons un peu plus sur l’identité de la victime présumée. En effet, il semblerait que la jeune femme ayant décidé de quitter le jeu soit Candice Renard, 21 ans, fille d’Hervé Renard, ancien entraîneur de l’équipe de football de Sochaux et de Lille et actuel sélectionneur de l’équipe de football du Maroc. Récemment interrogé, celui-ci a d’ailleurs confirmé l’information, ajoutant cependant qu’il ne pouvait pas en dévoiler d’avantage, car une instruction était en cours.
Ce n’est pas la première fois qu’un tel tollé est provoqué par l’émission Koh-Lanta. En effet, en 2013, Gérald Babin décédait d’une défaillance cardiaque. Un événement tragique qui a failli mettre fin à l’émission. D’ailleurs, la production et le médecin de l’émission ont été pointé du doigt : « Je suis certain d’avoir traité Gérald de manière respectable, comme un patient et non comme un candidat. (…) Je n’oserai plus croiser un regard en France sans que je me pose la question de savoir s’il est rempli de méfiance envers moi. »