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Netflix pourrait bien débaucher Luc Besson !

Et si le réalisateur Luc Besson travaillait au compte de Netflix ?

Il s’agit ici d’une très grosse nouvelle. En effet, un peu dans la panade financièrement, la société de production de Luc BessonEuropaCorp, pourrait trouver son salut auprès du géant Américain du streaming, Netflix. En effet, le dernier Besson, Valérian et la cité des mille planètes, un blockbuster au budget de 170 millions de dollars (soit un budget indécent) s’est soldé par gros échec au box-office et donc, un gros échec au niveau financier. Après une année difficile, notamment aux Etats-Unis (plusieurs films EuropaCorp, parmi lesquels Ma vie de chat, Miss Sloane, Oppression et The Circle, se sont totalement plantés au box-office), la société encaisse, perd et annonce un déficit de près de 120 millions d’euros sur la période 2016-2017. Au total, EuropaCorp serait à la traîne de… 230 millions.

C’est donc tout naturellement que Netflix serait, selon certaines informations, venue aux renseignements concernant une possible collaboration avec l’un des meilleurs réalisateurs français. Et oui, la plateforme souhaiterait en outre que le réalisateur puisse produire, mettre en scène, écrire et réaliser un nombre défini de films originaux qui seront ainsi placés sous le sigle du « Netflix Originals« . Une information qui, si elle se confirme risque de faire beaucoup de bruit.

Ils sont plusieurs sur le coup.

Et oui, car en plus de débaucher un génie du cinéma et son savoir-faire, Netflix pourrait également mettre la main sur le catalogue, plutôt fourni, de Luc Besson et d’EuropaCorp. En effet, le réalisateur et son entreprise sont toujours propriétaires des droits de films comme Taxi, Taken ou encore le Transporteur. De là à penser qu’ils pourraient débarquer sur Netflix, il n’y a qu’un pas. 

Enfin, en plus de tout cela, Netflix pourrait se permettre d’acquérir des parts dans l’entreprise… Une stratégie peu commune pour Netflix qui est plutôt habitué à tout racheter et non à investir. Cependant, le géant Américain n’est pas vraiment seul sur le coup puisqu’il se murmure que Lionsgate et le magnat franco-tunisien Tarak Ben Ammar sont également intéressés. 

 La guerre du cinéma continue de faire rage.

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