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Un ex-agent de la CIA assure avoir assassiné Bob Marley.

Bill Oxley, ex-agent de la CIA a assuré avoir assassiné Bob Marley.

Bill Oxley, ancien agent de la CIA, a en effet effectué une série de révélations fracassantes depuis sont lit d’hôpital, situé dans l’établissement de Mercy, localisé dans l’état du Maine, aux Etats-Unis.  En effet, sur son lit de mort, celui-ci a assuré être l’auteur de pas moins de 17 assassinats, perpétrés par le gouvernement américain, entre 1974 et 1985. Le chanteur raggae Bob Marley ferait d’ailleurs parti des victimes. Si cela vous semble saugrenu, sachez que l’homme a de quoi être pris au sérieux. En effet, celui-ci a travaillé durant 29 ans au sein de la CIA, étant utilisé à plusieurs reprises comme tueur à gages. Dans les faits, Oxley était utilisé afin d’éliminer des individus qui auraient pu –  à l’époque – représenter une menace pour les objectifs de l’agence des services secrets américains. 

Dans les années 80, les cibles étaient principalement des militants politiques, des journalistes ou encore des syndicaux. Cependant, l’ancien agent de la CIA, Oxley, a avoué avoir tué chercheurs, scientifiques et artistes  dont les idées « représentaient une menace pour les intérêts des États-Unis ». Il a cependant avoué qu’il regrettait certaines de ses actions, notamment concernant la mort de Bob MarleyD’une part, Marley était “un homme bon, une belle âme” avec “des dons artistiques profonds” cependant, ses idées auraient pu nuire aux objectifs de la CIA : “Ce n’est pas comme si nous ne l’avions pas prévenu. Nous avons envoyé quelques gars pour faire exploser sa maison à Kingston “ continue-t-il, en faisant référence à une fusillade ayant eu lieu dans la résidence de Marley qui avait laissé le chanteur avec un bras et une poitrine blessés. “Nous avions un message pour lui. Nous lui avons fait comprendre la gravité de la situation dans laquelle il se trouvait. Il n’a pas écouté.

« Plus de balles et de cerveaux éclaboussés.« 

La star du mouvement raggae se retire alors dans les Blue Mountains afin de prendre un peu de hauteur et répéter un concert qui approchait. L’ayant rejoint sur place, Oxley se présente face à lui, comme étant un photographe : “Je lui ai donné une paire de Converse All Stars. Taille 10. Quand il a essayé la bonne chaussure, il a crié : “Ouh !. C’était ça. Sa vie était finie là et ensuite. Le clou dans la chaussure était contaminé par des virus et des bactéries cancéreuses. Si elle a percé sa peau, ce qu’elle a fait, c’était bonne nuit infirmière. Il y avait eu une série d’assassinats de personnalités de contre-culture aux États-Unis à la fin des années soixante et au début des années soixante-dix. Au moment de la naissance de Bob Marley, nous pensions que la subtilité était à l’ordre du jour. Plus de balles et de cerveaux éclaboussés. “

“La dernière fois que j’ai vu Bob avant sa mort, il avait enlevé les dreadlocks, et son poids tombait comme une pierre”, dit-il. “Il était très renfermé, incroyablement petit. Il rétrécissait devant nous. Le cancer avait fait son travail. Le jour de sa mort à Miami a certainement été l’un des moments les plus difficiles de ma carrière. Je me sentais vraiment mal. Pendant longtemps, je n’étais pas à l’aise avec mon rôle dans sa mort. Mais finalement, je me suis rendu compte que cela devait être fait, pour l’Amérique. “ conclut-il finalement. Des informations qui, si elles sont avérées, seraient tout bonnement incroyables !

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