Pour France Dimanche, Capucine Anav se confie sur enfance difficile.

Au cours d’un entretien accordé à France Dimanche, Capucine Anav est revenue sur ses premières années de galères.

Si aujourd’hui, la jeune femme est sous la lumière, son enfance a été marquée par de nombreuses blessures qui l’ont beaucoup affectée. Découverte dans Secret Story 6, l’ancienne candidate des Anges et chroniqueuse pour Le Mag ou encore Touche pas à mon Poste, a accepté de revenir sur ces années galères dans un entretien pour France Dimanche : « J’ai été victime de moqueries à cause de ma petite taille et mes taches de rousseur sur le nez et les joues. Au collège, on m’appelait « la naine » ou « la crêpe » ! J’ai tellement entendu ces insultes qu’elles sont restées gravées en moi. Aujourd’hui encore, je continue de camoufler mes taches avec du maquillage et mets des talons le plus souvent possible », a-t-elle confié.

Un besoin constant d’attention et de reconnaissance.

Des années galères qui l’ont poussé à chercher un besoin d’attention et donc la reconnaissance : « C’est pour ça que j’aimerais qu’on dise : « Ah, ce petit bout de femme a réussi à faire quelques choses de bien ! » Ce n’est pas parce qu’on est petit à l’extérieur qu’on n’est pas grand à l’intérieur. Comme mon papa ou Nicolas Sarkozy, des personnes de petites tailles qui, au final, ont plus de pouvoir que quelqu’un de 1,90 m. Je trouve ça beau, car c’est un peu une revanche sur la vie. ».

On peut d’ores et déjà se dire que celle-ci a réussi son pari. Après la télé-réalité, Capucine Anav a parfaitement maîtrisé le virage face auquel elle se trouvait. Chroniqueuse pour des émissions populaires, avant d’embrayer sur le théâtre, Capucine Anav est pleine de ressources, réussissant notamment à se débarrasser de cette image un peu cul-cul qui lui collait à la peau. Nul doutes qu’elle fera parti du paysage audiovisuelle de notre pays durant encore quelques années.